Lors du deuxième tour de l'Euro 2010, l'équipe de France a battu la Slovénie (37-28). Après une première période mi-figue mi-raisin, les Tricolores ont serré les rangs défensivement au retour des vestiaires. Les Bleus seront qualifiés pour les demi-finales si l'Espagne ne bat pas l'Allemagne.
Au grand bonheur de Claude Onesta, les "pisse-vinaigre" vont finir par ne plus avoir voix au chapitre. Mardi face à la Slovènie, l'équipe de France a réussi une prestation de qualité et, pour la première fois de cet Euro 2010, terminé le travail sans se faire peur. Vainqueurs 37-28 de Luka Zvizej et de ses coéquipiers, voilà les champions olympiques et du monde à deux pas des demi-finales. Ils y seront peut-être même dès ce soir, si l'Espagne ne parvient pas à dominer l'Allemagne.
En attendant cet épilogue heureux, les Bleus peuvent savourer cette victoire face à la Slovénie. Si tout n'a pas été parfait, que Nikola Karabatic n'était pas dans un grand jour à la finition (2/10) et que la première période a été poussive (18 buts encaissés), on reste quand même sur une impression plus que favorable à l'issue des soixante minutes de ce match. Après la mi-temps, l'équipe de France a passé la vitesse supérieure, laissant les Slovènes dans leur dos. Les hommes de Claude Onesta, qui rendaient coup pour coup aux Slovènes en première période, ont fait l'écart au retour des vestiaires en réussissant un 6-1 en six minutes (23-19, 36e).
Après ça, la défense bleue s'est transformée en mur (dix buts encaissés en trente minutes). Thierry Omeyer, auteur de 17 arrêts sur 42 tirs, n'y est évidemment pas pour rien. Mais c'est aussi toute l'arrière-garde tricolore qui s'est mise au diapason et n'a pas réitéré les erreurs de la première partie du match. Au rang des satisfactions, on peut également ajouter Michael Guigou. L'ailier s'est retrouvé. Semble-t-il débarrassé de ses soucis à l'épaule, Guigou a fait parler la poudre et marqué 10 buts... à 100% de réussite. De bon augure pour la suite ? C'est le moins qu'on puisse dire.
EUROSPORT
Au grand bonheur de Claude Onesta, les "pisse-vinaigre" vont finir par ne plus avoir voix au chapitre. Mardi face à la Slovènie, l'équipe de France a réussi une prestation de qualité et, pour la première fois de cet Euro 2010, terminé le travail sans se faire peur. Vainqueurs 37-28 de Luka Zvizej et de ses coéquipiers, voilà les champions olympiques et du monde à deux pas des demi-finales. Ils y seront peut-être même dès ce soir, si l'Espagne ne parvient pas à dominer l'Allemagne.
En attendant cet épilogue heureux, les Bleus peuvent savourer cette victoire face à la Slovénie. Si tout n'a pas été parfait, que Nikola Karabatic n'était pas dans un grand jour à la finition (2/10) et que la première période a été poussive (18 buts encaissés), on reste quand même sur une impression plus que favorable à l'issue des soixante minutes de ce match. Après la mi-temps, l'équipe de France a passé la vitesse supérieure, laissant les Slovènes dans leur dos. Les hommes de Claude Onesta, qui rendaient coup pour coup aux Slovènes en première période, ont fait l'écart au retour des vestiaires en réussissant un 6-1 en six minutes (23-19, 36e).
Après ça, la défense bleue s'est transformée en mur (dix buts encaissés en trente minutes). Thierry Omeyer, auteur de 17 arrêts sur 42 tirs, n'y est évidemment pas pour rien. Mais c'est aussi toute l'arrière-garde tricolore qui s'est mise au diapason et n'a pas réitéré les erreurs de la première partie du match. Au rang des satisfactions, on peut également ajouter Michael Guigou. L'ailier s'est retrouvé. Semble-t-il débarrassé de ses soucis à l'épaule, Guigou a fait parler la poudre et marqué 10 buts... à 100% de réussite. De bon augure pour la suite ? C'est le moins qu'on puisse dire.
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Commentaires
celui contre la Plogne sera de toute beauté
bpnne journée