Michaël Guigou estime que l'équipe de France a "vraiment retrouvé un bon niveau" avant de défier la Pologne dans son dernier match du 2e tour, jeudi à Innsbruck. Un match décisif pour l'accession aux demi-finales du Championnat d'Europe.
Comment êtes-vous passé d'un début de tournoi difficile à vos dix buts contre la Slovénie ?
M.G. : Je ne veux pas me chercher d'excuses, mais l'évolution est venue de l'état de mon épaule. Je n'ai plus mal depuis la veille du match contre l'Allemagne. Quand je souffrais, je me disais qu'il fallait faire avec, mais je touchais les poteaux, je n'étais pas très performant. Du coup, on se met à cogiter et à se poser des questions. Le matin de la Slovénie, j'étais malade. Je me suis dit: "il reste quatre matches à faire, ce n'est pas la maladie qui va t'empêcher de faire un bon match".
Le collectif est-il passé par des moments comparables ?
M.G. : Beaucoup de joueurs revenaient de blessure, beaucoup qui ont été plus ou moins malades. Les bons matches réussis par nos adversaires nous ont fait nous poser beaucoup de questions. Mais au fur et à mesure, on a progressé et on a vraiment retrouvé un bon niveau, même si ce n'est pas encore le meilleur. C'est un peu frustrant d'avoir retrouvé notre niveau et de ne pas être encore qualifié. Mais logiquement jeudi on sera en forme pour battre les Polonais.
Pensez-vous que la Pologne va jouer le match à fond alors qu'elle est déjà qualifiée ?
M.G. : Elle ne se surpassera pas, ça paraît logique. Les Polonais vont quand même jouer le match parce qu'ils préfèreraient ne pas avoir à nous retrouver en finale. Ils savent qu'on est l'équipe la plus dangereuse, même si on a eu une première phase difficile, et aimeraient bien nous éliminer. Je ne suis pas à la place des Polonais, mais je pense qu'à deux jours d'enchaîner demi-finale et peut-être finale, ils vont jouer pour garder le rythme mais sans prendre de risque.
AFP
Comment êtes-vous passé d'un début de tournoi difficile à vos dix buts contre la Slovénie ?
M.G. : Je ne veux pas me chercher d'excuses, mais l'évolution est venue de l'état de mon épaule. Je n'ai plus mal depuis la veille du match contre l'Allemagne. Quand je souffrais, je me disais qu'il fallait faire avec, mais je touchais les poteaux, je n'étais pas très performant. Du coup, on se met à cogiter et à se poser des questions. Le matin de la Slovénie, j'étais malade. Je me suis dit: "il reste quatre matches à faire, ce n'est pas la maladie qui va t'empêcher de faire un bon match".
Le collectif est-il passé par des moments comparables ?
M.G. : Beaucoup de joueurs revenaient de blessure, beaucoup qui ont été plus ou moins malades. Les bons matches réussis par nos adversaires nous ont fait nous poser beaucoup de questions. Mais au fur et à mesure, on a progressé et on a vraiment retrouvé un bon niveau, même si ce n'est pas encore le meilleur. C'est un peu frustrant d'avoir retrouvé notre niveau et de ne pas être encore qualifié. Mais logiquement jeudi on sera en forme pour battre les Polonais.
Pensez-vous que la Pologne va jouer le match à fond alors qu'elle est déjà qualifiée ?
M.G. : Elle ne se surpassera pas, ça paraît logique. Les Polonais vont quand même jouer le match parce qu'ils préfèreraient ne pas avoir à nous retrouver en finale. Ils savent qu'on est l'équipe la plus dangereuse, même si on a eu une première phase difficile, et aimeraient bien nous éliminer. Je ne suis pas à la place des Polonais, mais je pense qu'à deux jours d'enchaîner demi-finale et peut-être finale, ils vont jouer pour garder le rythme mais sans prendre de risque.
AFP
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