VIENNE (AFP) - Les handballeurs français refusent de voir dans l'Islande, leur adversaire en demi-finale du Championnat d'Europe aujourd'hui à Vienne, le Petit Poucet du dernier carré.
"Même si les gens pensent qu'ils sont le Petit Poucet des quatre, en réalité quand on revient à ce niveau-là à deux ans d'intervalle, ce n'est plus un hasard", a estimé le sélectionneur Claude Onesta.
Les Islandais avaient été les rivaux des Bleus en finale des jeux Olympiques à Pékin. La France l'avait emporté facilement de 5 buts (28-23).
Onesta s'attend à un match plus compliqué qu'il y a deux ans. "Nos adversaires sont un peu moins admiratifs et beaucoup plus virulents que par le passé. Les autres sont très proches et on sent leur sueur derrière nous. Mais ça nous pousse aussi", a-t-il ajouté.
L'équipe de France est toujours invaincue à l'Euro en six matches, mais a dominé moins nettement qu'aux Jeux ou au Mondial-2009, concédant deux nuls à la Hongrie et à l'Espagne.
L'ailier Luc Abalo ne pense pas lui non plus que les Tricolores vont se promener face aux Nordiques. "Il ne faut surtout pas que nos supporteurs pensent que ça va être facile. Je ne crois pas qu'on va les tordre", a-t-il prévenu.
afp
Le match gagné de dix buts au tournoi de Bercy jusqu'avant le départ en Autriche n'a pour lui aucune signification. "Ils avaient mis une équipe bis avec des jeunes. Ce ne seront pas les mêmes joueurs en demi-finale", dit le champion olympique.
"Même si les gens pensent qu'ils sont le Petit Poucet des quatre, en réalité quand on revient à ce niveau-là à deux ans d'intervalle, ce n'est plus un hasard", a estimé le sélectionneur Claude Onesta.
Les Islandais avaient été les rivaux des Bleus en finale des jeux Olympiques à Pékin. La France l'avait emporté facilement de 5 buts (28-23).
Onesta s'attend à un match plus compliqué qu'il y a deux ans. "Nos adversaires sont un peu moins admiratifs et beaucoup plus virulents que par le passé. Les autres sont très proches et on sent leur sueur derrière nous. Mais ça nous pousse aussi", a-t-il ajouté.
L'équipe de France est toujours invaincue à l'Euro en six matches, mais a dominé moins nettement qu'aux Jeux ou au Mondial-2009, concédant deux nuls à la Hongrie et à l'Espagne.
L'ailier Luc Abalo ne pense pas lui non plus que les Tricolores vont se promener face aux Nordiques. "Il ne faut surtout pas que nos supporteurs pensent que ça va être facile. Je ne crois pas qu'on va les tordre", a-t-il prévenu.
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Le match gagné de dix buts au tournoi de Bercy jusqu'avant le départ en Autriche n'a pour lui aucune signification. "Ils avaient mis une équipe bis avec des jeunes. Ce ne seront pas les mêmes joueurs en demi-finale", dit le champion olympique.
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