A défaut de revenir avec des certitudes, l'équipe de France pourra quitter l'Islande avec au moins une belle histoire à raconter. Arrivée à bon port, à Reykjavik, malgré l'éruption de l'Eyjafjöll, dont les cendres paralysent toute l'Europe, la délégation tricolore ne sait pas quand elle pourra en repartir. En attendant le feu vert, les Bleus se sont occupés comme ils peuvent. Après un premier match nul vendredi (28-28), ils ont gagné samedi leur second match amical (31-28), avec plus ou moins de stafisfactions.
Honrubia et Dumoulin, les belles surprises
La première d'entre elles, c'est tout bonnement le résultat. Malgré une large revue d'effectif opérée par Claude Onesta, pour la seconde partie, les Français ont gagné, ce qui n'était pas une mince affaire dans un Laugardashöll bouillant comme un volcan. Sans Didier Dinart et Nikola Karabatic, laissés au repos, c'est Jérôme Fernandez, le capitaine courage, qui a mené toute la troupe vers la victoire. Avec sept buts, dont cinq en première période, le joueur de Ciudad Real a montré l'exemple. Dans son sillage, deux hommes ont marqué des points : Samuel Honrubia et Cyril Dumoulin. Après la belle prestation de William Accambray la veille, c'est cette fois l'ailier gauche de Montpellier qui a pris le relais. Bousculé en première période, il a su se défaire du marquage "pot de colle" islandais après la pause, pour enfin montrer des choses. Pour montrer surtout qu'en l'absence de Michaël Guigou, resté en France, il est une alternative tout à fait crédible.
Retour pas avant lundi ?
Egalement dans la lumière, Dumoulin a lui (presque) fait oublier le meilleur joueur du monde pendant l'espace d'une demi-heure. Entré en jeu à la mi-temps dans la cage tricolore, le portier de Chambéry a réalisé plusieurs arrêts décisifs alors que les deux équipes étaient au coude à coude. Lui aussi a montré à son entraîneur qu'il pouvait être à la hauteur. D'autres, comme Guillaume Joli ou Sébastien Ostertag, pourtant plus habitués à la sélection, ont été plus discrets. Le staff en tirera sans doute plus tard des enseignements. En attendant, il se concentre sur les formalités de son retour en France (sans doute pas avant lundi). Car pour les vacances, ce n'est pas encore le moment.
L'équipe
Honrubia et Dumoulin, les belles surprises
La première d'entre elles, c'est tout bonnement le résultat. Malgré une large revue d'effectif opérée par Claude Onesta, pour la seconde partie, les Français ont gagné, ce qui n'était pas une mince affaire dans un Laugardashöll bouillant comme un volcan. Sans Didier Dinart et Nikola Karabatic, laissés au repos, c'est Jérôme Fernandez, le capitaine courage, qui a mené toute la troupe vers la victoire. Avec sept buts, dont cinq en première période, le joueur de Ciudad Real a montré l'exemple. Dans son sillage, deux hommes ont marqué des points : Samuel Honrubia et Cyril Dumoulin. Après la belle prestation de William Accambray la veille, c'est cette fois l'ailier gauche de Montpellier qui a pris le relais. Bousculé en première période, il a su se défaire du marquage "pot de colle" islandais après la pause, pour enfin montrer des choses. Pour montrer surtout qu'en l'absence de Michaël Guigou, resté en France, il est une alternative tout à fait crédible.
Retour pas avant lundi ?
Egalement dans la lumière, Dumoulin a lui (presque) fait oublier le meilleur joueur du monde pendant l'espace d'une demi-heure. Entré en jeu à la mi-temps dans la cage tricolore, le portier de Chambéry a réalisé plusieurs arrêts décisifs alors que les deux équipes étaient au coude à coude. Lui aussi a montré à son entraîneur qu'il pouvait être à la hauteur. D'autres, comme Guillaume Joli ou Sébastien Ostertag, pourtant plus habitués à la sélection, ont été plus discrets. Le staff en tirera sans doute plus tard des enseignements. En attendant, il se concentre sur les formalités de son retour en France (sans doute pas avant lundi). Car pour les vacances, ce n'est pas encore le moment.
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