L’équipe de France a pris une leçon de handball contre la Norvège (19-30), lundi soir en Serbie, lors du tour principal de l’Euro 2012 féminin. Une lourde défaite qui complique sérieusement les choses pour les Bleues dans la course aux demi-finales.
Les portes des demi-finales de l’Euro 2012 ne sont pas fermées, mais presque, pour l’équipe de France. Opposées lundi soir à Belgrade aux Norvégiennes, sortes d’"Experts au féminin", les Bleues n’ont pas fait le poids et ont très mal entamé le tour principal de la compétition. Pis, les filles d’Olivier Krumbholz ont pris une sévère correction (19-30) dont il sera difficile de se relever alors que les deux prochains matches, contre la République tchèque et la Serbie, seront capitaux.
Avec seulement deux points dans le groupe I, les Françaises sont condamnées à remporter leurs deux dernières rencontres, en espérant que les autres résultats de leurs concurrentes soient favorables. Pas infaisable, donc, mais extrêmement improbable. Dans une compétition aussi dense qu’un championnat d’Europe, espérer rejoindre le dernier carré avec deux défaites (les Bleues avaient perdu face aux Danoises au premier tour, ndlr) est de toute façon très hypothétique.
Un léger sursaut d’orgueil, alors qu’elles avaient neuf but de retard (12-21, 41e), a ensuite permis aux coéquipières de Terviel de revenir à cinq longueurs (16-21, 46e), mais il en aurait fallu bien plus pour renverser la vapeur. Olivier Krumbholz trouvera-t-il les mots pour remobiliser ses joueuses, qui ont désormais rendez-vous avec les Tchèques ? Auront-elles les ressources mentales pour rebondir ? Après une telle claque, rien n’est moins sûr…
http://www.sports.fr/handball
Les portes des demi-finales de l’Euro 2012 ne sont pas fermées, mais presque, pour l’équipe de France. Opposées lundi soir à Belgrade aux Norvégiennes, sortes d’"Experts au féminin", les Bleues n’ont pas fait le poids et ont très mal entamé le tour principal de la compétition. Pis, les filles d’Olivier Krumbholz ont pris une sévère correction (19-30) dont il sera difficile de se relever alors que les deux prochains matches, contre la République tchèque et la Serbie, seront capitaux.
Avec seulement deux points dans le groupe I, les Françaises sont condamnées à remporter leurs deux dernières rencontres, en espérant que les autres résultats de leurs concurrentes soient favorables. Pas infaisable, donc, mais extrêmement improbable. Dans une compétition aussi dense qu’un championnat d’Europe, espérer rejoindre le dernier carré avec deux défaites (les Bleues avaient perdu face aux Danoises au premier tour, ndlr) est de toute façon très hypothétique.
24 heures pour rebondir
Les Françaises ont pourtant fait douter les championnes d’Europe, du monde et olympiques en début de rencontre, Darleux réalisant quelques arrêts qui ont permis à ses coéquipières de prendre le meilleur départ (8-6, 21e). Mais la mécanique tricolore s’est subitement enrayée et, une fois devant au score, les Norvégiennes n’ont plus du tout été inquiétées (14-10, 30e) par des Bleues incapables de profiter de leurs supériorités numériques et bien trop perméables en défense.Un léger sursaut d’orgueil, alors qu’elles avaient neuf but de retard (12-21, 41e), a ensuite permis aux coéquipières de Terviel de revenir à cinq longueurs (16-21, 46e), mais il en aurait fallu bien plus pour renverser la vapeur. Olivier Krumbholz trouvera-t-il les mots pour remobiliser ses joueuses, qui ont désormais rendez-vous avec les Tchèques ? Auront-elles les ressources mentales pour rebondir ? Après une telle claque, rien n’est moins sûr…
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